Conseiller à la sécurité nationale du président Joe Biden, Jake Sullivan se félicitait récemment de la stabilité du Proche-Orient.
Le 7 octobre, l’opération « Tempête d’Al Aqsa » du Hamas a esquissé de nouveaux scénarios, l’hégémonie des États-Unis et d’Israël dans la région n’étant plus aussi certaine, malgré la complicité de certains États arabes.
En attaquant le Yémen, les États-Unis et le Royaume-Uni ont déjà intensifié la guerre de Gaza au-delà de la Palestine. L’Arabie saoudite voudrait faire tout ce qui est en son pouvoir pour contenir une nouvelle escalade, car elle pourrait déborder sur ses propres frontières et entraîner une radicalis
Le 14 septembre, une délégation houthie et une équipe de diplomates omanais se sont rendues à Riyad pour des pourparlers sur la résolution du ou des conflits yéménites,
L’administration Biden envisage actuellement d’aller là où aucun autre président n’est allé auparavant:
Il est noble de vouloir que les diplomates américains résolvent les conflits et promeuvent l’harmonie entre les religions. Mais les Accords d’Abraham sont intentionnellement trompeurs à cet égard…
Téhéran et Riyad n’ont pas signé l’accord diplomatique à Pékin après près de deux ans de médiation facilitée par l’Irak et l’Oman par amour mutuel. Au lieu de cela, l’accord résultait de leurs intérêts respectifs dans la détente à un moment donné. En fin de compte, les hostilités entre les deux puis
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